Terreur blanche | |
Une des fosses communes découvertes à Estépar (province de Burgos), datant d'août-, au début de la guerre d'Espagne. | |
Date | 1936 - 1944 |
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Lieu | Espagne |
Victimes | Républicains espagnols et civils membres de partis de gauche ou soupçonnés de soutenir le camp républicain |
Morts | 75 000 à 200 000 (de 1936 à 1939)[1] 50 000 à 200 000 (de 1939 à 1944)[2],[3] |
Auteurs | Nationalistes espagnols |
Guerre | Guerre d'Espagne |
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Les noms de Terreur blanche (en espagnol, Terror Blanco[4]) ou de répression franquiste (Represión Franquista) désignent l'ensemble des exactions et répressions politiques exercées par le camp nationaliste puis par la dictature franquiste durant et après la guerre d'Espagne. Durant le conflit, elle se déroula en parallèle à la terreur rouge pratiquée en zone républicaine.
La Terreur blanche proprement dite est considérée comme ayant duré environ jusqu'à la fin de la Seconde Guerre mondiale en 1945[5] bien que le concept de « répression franquiste » puisse s'entendre comme englobant l'ensemble des politiques répressives menées jusqu'à la mort de Francisco Franco en 1975.
Il existe en Espagne entre 600 et 800 charniers de républicains et d'opposants à la dictature franquiste. Des charniers contenant des milliers de cadavres de républicains assassinés sont encore découverts au début du XXIe siècle[6].
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